Lord Boateng, membre de la Chambre des Lords, Parlement britannique : "GAVI va au-delà des frontières politiques. Nous nous rassemblons quelle que soit notre obédience politique pour le bien que GAVI fait. Tous les parlementaires qui étaient l’année dernière au Forum des partenaires de GAVI en Tanzanie, ont signé une déclaration qui reconnaissait que GAVI et son mode de fonctionnement représentent une approche au rapport coût-efficacité positif et qui sauve des vies. Mais pour continuer ce travail inestimable, GAVI a besoin de ressources et d’engagements. "
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Nous travaillons au-delà des frontières politique. Nous nous sommes assurés que les membres du Parlement comprenaient que la santé et la vaccination ne divisent pas. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Pour qu’un dirigeant politique puisse mener son pays, son peuple, il a besoin d’une population en bonne santé. Donc, si vous ne soutenez pas la vaccination vous n’êtes pas un dirigeant. Chaque homme et femme politique doit savoir que la vaccination est un droit pour chaque enfant et qu’un soutien continu doit y être donné par la planification financière et l’engagement politique. "
Kenneth Forslund, membre du Parlement, Suède : "J’ai été très impressionné par les efforts de GAVI pour rassembler autour d’une table, personnages politiques, société civile, organisations internationales et industrie pharmaceutique, pour les faire coopérer et les faire atteindre des conclusions communes. Je ne peux imaginer la somme de travail en coulisses. "
Elisabeth B. Rahm, membre du Parlement, Suède : "Nous devons travailler avec le même objectif : si nous ne pouvons donner de vaccins aux enfants, alors nous ne pourrons continuer à soutenir le développement des pays pauvres dans la bonne direction. "
Lord Boateng, membre de la Chambre des Lords, Parlement britannique : "Comment les parlementaires travaillant avec les organisations de la société civile peuvent-ils s’assurer que des ressources et des engagements significatifs sont dévolus aux interventions et infrastructures de santé publique dont font partie les vaccins et la vaccination ? "
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Malgré les difficultés auxquelles est confronté notre pays, nous nous sommes engagés pour nous assurer que la ligne budgétaire en faveur de la vaccination augmente. Nous avons étudié les obligations du Programme étendu de Vaccination (PEV). Quand nous obtenons le budget du PEV, nous recherchons au parlement des députés pour le défendre, pour nous assurer qu’il ne sera pas réduit. Quand le Ministre des Finances et les députés discutent réductions budgétaires, un membre du Comité parlementaire pour les Finances s’assure que la vaccination ne sera pas touchée. "
Elisabeth B. Rahm, membre du Parlement, Suède : "Nous avons fixé comme notre principal objectif, un pour cent de revenu national brut en faveur de l’aide au développement, ce que nous avons réussi à tenir pendant plusieurs années. Il est important que nous ayons une discussion au Parlement sur la direction à donner à ces fonds vers des interventions qui font le plus de bien… mais nous ne le faisons pas seuls. Nous travaillons avec de nombreuses organisations pour maintenir ces objectifs. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Dans toute l’Afrique, nos dirigeants sont plus intéressés par les infrastructures : routes, voies ferrées, et autres secteurs. La santé doit devenir une seconde priorité. Nous devons mettre la pression sur ceux qui dirigent pour leur montrer ce que sera la valeur d’une nouvelle route si ceux qui l’empruntent sont en mauvaise santé et sont devenus inactifs sur le plan économique. "
Lord Boateng, membre de la Chambre des Lords, Parlement britannique : "Il est important de mettre en place une loi de base ce qui vous permet d’avoir un cadre juridique en place pour faire avancer votre stratégie. Le pouvoir ne concède rien sans une demande. La loi est la demande et vous permet de faire cette demande au nom de tous les enfants qui ont besoin de vaccins. "
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Quand nous avons une base juridique, le gouvernement ne peux rien faire contre nous. Depuis 2009, avec le soutien de GAVI, de l’OMS et de l’UNICEF, nous avons proposé une législation pour garantir que le gouvernement allouera de l’argent en faveur de la vaccination. Maintenant, chaque fois que nous sommes informés qu’un certain million a été budgété (pour la vaccination), en tant que Députés, nous suivons le budget pour nous assurer que le financement est bien exécuté. "
Lord Boateng, ancien membre du Parlement britannique :: "Le lien entre le Parlement et la société civile est incontournable dans notre mission. Atteindre ce cinquième enfant qui n’est jamais vacciné ne sera possible que grâce au travail étroit entre parlementaires et société civile. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Dans mon parlement, ils y a de nombreux représentants qui sont intéressés dans la vaccination… pour célébrer les journées de la vaccination. Nous utilisons ces journées pour communiquer sur les succès enregistrés."
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Les députés peuvent également éduquer. Nous avons neuf pour cent des femmes qui emmènent leurs enfants pour être vaccinés la première fois mais qui ne reviennent pas ensuite. Députés et société civile ont un rôle à jouer en matière d’éducation et de sensibilisation."
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Certaines fois les chefs traditionnels ne veulent pas de la vaccination, ils sont contre. En tant que dirigeants politiques, nous essayons d’expliquer que la vaccination c’est la vie, c’est un outil pour la vie. Un enfant vacciné peut vivre et cela grâce à GAVI, l’OMS et l’UNICEF. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Dans mon pays, 100 membres du parlement ont signé une lettre dans laquelle il demandent le soutien de GAVI pour introduire le vaccin contre le virus du papillome humain. C’est maintenant 14 districts qui le demandent."
Lord Boateng, membre de la Chambre des Lords, Parlement britannique : "GAVI va au-delà des frontières politiques. Nous nous rassemblons quelle que soit notre obédience politique pour le bien que GAVI fait. Tous les parlementaires qui étaient l’année dernière au Forum des partenaires de GAVI en Tanzanie, ont signé une déclaration qui reconnaissait que GAVI et son mode de fonctionnement représentent une approche au rapport coût-efficacité positif et qui sauve des vies. Mais pour continuer ce travail inestimable, GAVI a besoin de ressources et d’engagements. "
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Nous travaillons au-delà des frontières politique. Nous nous sommes assurés que les membres du Parlement comprenaient que la santé et la vaccination ne divisent pas. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Pour qu’un dirigeant politique puisse mener son pays, son peuple, il a besoin d’une population en bonne santé. Donc, si vous ne soutenez pas la vaccination vous n’êtes pas un dirigeant. Chaque homme et femme politique doit savoir que la vaccination est un droit pour chaque enfant et qu’un soutien continu doit y être donné par la planification financière et l’engagement politique. "
Kenneth Forslund, membre du Parlement, Suède : "J’ai été très impressionné par les efforts de GAVI pour rassembler autour d’une table, personnages politiques, société civile, organisations internationales et industrie pharmaceutique, pour les faire coopérer et les faire atteindre des conclusions communes. Je ne peux imaginer la somme de travail en coulisses. "
Elisabeth B. Rahm, membre du Parlement, Suède : "Nous devons travailler avec le même objectif : si nous ne pouvons donner de vaccins aux enfants, alors nous ne pourrons continuer à soutenir le développement des pays pauvres dans la bonne direction. "
Lord Boateng, membre de la Chambre des Lords, Parlement britannique : "Comment les parlementaires travaillant avec les organisations de la société civile peuvent-ils s’assurer que des ressources et des engagements significatifs sont dévolus aux interventions et infrastructures de santé publique dont font partie les vaccins et la vaccination ? "
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Malgré les difficultés auxquelles est confronté notre pays, nous nous sommes engagés pour nous assurer que la ligne budgétaire en faveur de la vaccination augmente. Nous avons étudié les obligations du Programme étendu de Vaccination (PEV). Quand nous obtenons le budget du PEV, nous recherchons au parlement des députés pour le défendre, pour nous assurer qu’il ne sera pas réduit. Quand le Ministre des Finances et les députés discutent réductions budgétaires, un membre du Comité parlementaire pour les Finances s’assure que la vaccination ne sera pas touchée. "
Elisabeth B. Rahm, membre du Parlement, Suède : "Nous avons fixé comme notre principal objectif, un pour cent de revenu national brut en faveur de l’aide au développement, ce que nous avons réussi à tenir pendant plusieurs années. Il est important que nous ayons une discussion au Parlement sur la direction à donner à ces fonds vers des interventions qui font le plus de bien… mais nous ne le faisons pas seuls. Nous travaillons avec de nombreuses organisations pour maintenir ces objectifs. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Dans toute l’Afrique, nos dirigeants sont plus intéressés par les infrastructures : routes, voies ferrées, et autres secteurs. La santé doit devenir une seconde priorité. Nous devons mettre la pression sur ceux qui dirigent pour leur montrer ce que sera la valeur d’une nouvelle route si ceux qui l’empruntent sont en mauvaise santé et sont devenus inactifs sur le plan économique. "
Lord Boateng, membre de la Chambre des Lords, Parlement britannique : "Il est important de mettre en place une loi de base ce qui vous permet d’avoir un cadre juridique en place pour faire avancer votre stratégie. Le pouvoir ne concède rien sans une demande. La loi est la demande et vous permet de faire cette demande au nom de tous les enfants qui ont besoin de vaccins. "
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Quand nous avons une base juridique, le gouvernement ne peux rien faire contre nous. Depuis 2009, avec le soutien de GAVI, de l’OMS et de l’UNICEF, nous avons proposé une législation pour garantir que le gouvernement allouera de l’argent en faveur de la vaccination. Maintenant, chaque fois que nous sommes informés qu’un certain million a été budgété (pour la vaccination), en tant que Députés, nous suivons le budget pour nous assurer que le financement est bien exécuté. "
Lord Boateng, ancien membre du Parlement britannique :: "Le lien entre le Parlement et la société civile est incontournable dans notre mission. Atteindre ce cinquième enfant qui n’est jamais vacciné ne sera possible que grâce au travail étroit entre parlementaires et société civile. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Dans mon parlement, ils y a de nombreux représentants qui sont intéressés dans la vaccination… pour célébrer les journées de la vaccination. Nous utilisons ces journées pour communiquer sur les succès enregistrés."
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Les députés peuvent également éduquer. Nous avons neuf pour cent des femmes qui emmènent leurs enfants pour être vaccinés la première fois mais qui ne reviennent pas ensuite. Députés et société civile ont un rôle à jouer en matière d’éducation et de sensibilisation."
Gregoire Lusenge Kakule, Député, République démocratique du Congo : "Certaines fois les chefs traditionnels ne veulent pas de la vaccination, ils sont contre. En tant que dirigeants politiques, nous essayons d’expliquer que la vaccination c’est la vie, c’est un outil pour la vie. Un enfant vacciné peut vivre et cela grâce à GAVI, l’OMS et l’UNICEF. "
Huda Oleru, membre du Parlement, Ouganda : "Dans mon pays, 100 membres du parlement ont signé une lettre dans laquelle il demandent le soutien de GAVI pour introduire le vaccin contre le virus du papillome humain. C’est maintenant 14 districts qui le demandent."